Photo de paysage rural
Végétal

Végétal

Retrouvez ci-dessous la liste des projets HOLOFLUX relatifs à cette thématique.

 

Dans ce dossier

© INRAE
Le consortium HoloGrain mobilise différentes équipes INRAE dont les travaux de chacune ciblent une étape particulière de la chaine de production (en pré- ou post-récolte) ou un questionnement spécifique. Ce réseau permettra d'intégrer les différentes étapes et de suivre un holobionte grain dé blé tout au long de la chaine agro-agri-alimentaire.
© Comscience
Le projet HOLOBROM étudie l'acquisition et la transmission des endophytes microbiens (qui vivent à l'intérieur d'un végétal) sur le développement et la croissance des plantes. Des études sur des espèces cultivées suggèrent des effets maternels, mais ces effets restent peu connus dans les écosystèmes naturels, par ailleurs soumis à de forts gradients environnementaux.
© INRAE LIPME
Le projet HOUSE souhaite répondre à des questions relevant des sciences de l’évolution en mobilisant des méthodes d’écologie microbienne et de biologie végétale. Il vise à analyser la pertinence du concept d’holobionte par une approche de sélection artificielle de la plante, du microbiote rhizosphérique ou des deux simultanément, afin de conclure sur l’importance des interactions plante-microbiote dans la réponse à la sélection.
© INRAE
Le projet INT-BXL porte sur la bioremédiation de sédiments de rivière et sols agricoles pollués. Dans les agroécosystèmes, la contamination des sols par des composés xénobiotiques, tels que les pesticides utilisés en agriculture conventionnelle et les antibiotiques utilisés en élevage ou apportés via la fertilisation organique des sols, peut conduire au transfert de ces composés, et/ou de leurs intermédiaires de dégradation, vers les eaux de surface et souterraines, et provoquer ainsi la contamination de ces ressources en eau.
Le projet µFlyAdapt souhaite mettre en évidence le recrutement sélectif et le rôle des microorganismes de la rhizosphere dans l’adaptation d’un insecte phytophage racinaire (la mouche du chou Delia radicum) à sa plante hôte (Brassica napus).
Project exploratoire PROCYABIOTE© Unsplash
Les systèmes agri-alimentaires sont largement dépendants des intrants azotés. Pourtant la plupart des cultures (particulièrement les céréales) ont une faible efficacité d'utilisation de cet azote ajouté (entre 30 et 50 %). Par conséquent, une grande quantité de l’azote appliqué dans les agroécosystèmes se retrouve dans l'atmosphère, les écosystèmes terrestres et aquatiques provoquant l’emballement du cycle de l’azote, avec des problématiques diverses, comme l’eutrophisation ou encore l’augmentation des émissions de protoxyde d’azote. Ce cycle de l'azote est largement régi par les microorganismes des sols.

Date de modification : 19 septembre 2023 | Date de création : 08 novembre 2021 | Rédaction : Com